• Il se faisait tard. A l’intérieur de la pièce seul un écran apporte un peu de luminosité, une jeune femme assise, toujours la main posée sur le clavier. Elle est vêtue d’une chemise d’homme bien trop grande pour elle, elle est seule là planté devant son ordinateur. Son regard est ailleurs……..

    Elle est troublée, elle n’aurait jamais pensé que des mots puissent la mener aussi loin,  les jambes encore croisées, elle sent ses joues légèrement chauffées, elle ne se reconnaît pas, que lui arrive t’il ? Il l’a trouble, les yeux à demi clos, elle peut entendre ces mots, ces mots qu’il vient de lui écrire, ces mots qui résonnent maintenant dans sa tête.

    Elle revoit encore cette phrase, « je vous désire, je veux vous séduire, mes lèvres se veulent suspendues aux vôtres ». Elle l’imagine, elle sent même à ce moment  un souffle sur son visage, ce baiser, un baiser si sensuel. Elle voudrait que cet instant ne cesse, que le temps se fige, pour son bonheur intérieur.

    Elle se glisse sur son canapé, laissant le désir monter, que lui évoquent ces mots inaudibles, elle l’imagine derrière elle. Le virtuel passe au réel, elle se laisse glisser avec délectation. Elle dégrafe de ses doigts fins, sa chemise bouton par bouton, laissant apparaître ses seins gonflés. Elle imagine une main sur sa cuisse, un picotement la fait se cambrer légèrement, elle se laisse aller, la voici qui se touche, et sent sa peau humide, tous ses sens sont en éveils.

    Elle le désire, le veut là, sous elle, en elle, elle est déjà toute gorgée de désir intense, de l’autre main elle se caresse la poitrine, l’excitation n’en est que plus forte, un atmosphère de volupté règne dans la pièce, son ventre bouillonne intérieurement, elle frissonne, son bat du dos se fait sensible, comme si une caresse invisible venait si poser. Sa peau se hérisse, une bouffée de chaleur la prend.

    Son autre main continue ce jeu indécent, un doux et tendre va et vient, si délicieux.  Elle s’interpelle, cet homme évoque en elle un désir ardent, elle veut le voir, qu’il sache l’émotion qu’il évoque en elle. Des râles, des gémissements jaillissent du fond de sa gorge, pour la première fois, elle s’entend venir à sa propre jouissance, elle ne tient plus, se déhanche, entame une danse endiablée, son corps frémit, elle se fouille avec ardeur.

    Elle est prise de spasme, et son dernier cri brise se silence pesant, elle se cabre et jouit à l’envie.

    Ruisselante, dégoulinante, le visage chauffé, le cœur battant à la chamade, un sourire au bout des lèvres, comment a-t-il fait ? Peu importe, elle sait qu’il l’a troublée……………


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  • C'est beau l'amour...

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  • Comment ne pas oublier ton regard noir, tes cheveux long châtains bouclés,Comment ne pas se souvenir de ta peau, toi près de moi, toi contre moi, moi en toi, de notre première fois.

     

    J’étais là comme un enfant, je n’osais te prendre par la taille et toi tu me regardais avec douceur, un simple instant de bonheur, un instant où plus rien n’existait.

    Avec tendresse, tu m’as fais poser ma main sur un de tes seins, je pouvais ressentir ton cœur qui battait. J’ai déboutonné ta chemise, pour enfin le découvrir. J’ai passé mes doigts sur lui, douce sensation. Je t’ai déposé un baiser furtif sur ton mamelon et …


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  • Plaisir

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  • Doucement dans la pénombre de ta chambre je suis entré. Tu dormais, ton souffle était léger, je me suis glissé sous les draps frais, mes doigts devenant mes yeux dans cette obscurité, je pouvais deviner que tu étais dénudée.

    J’ai frôlé tes épaules, pour me laisser glisser lentement sur tes reins creusés. Sous ma bouche j'ai senti se dessiner un frisson, ton corps s’abandonnait tranquillement.Je caressais tes formes rebondies, repassant sur ce sillon subtil, laissant s’exiler un de mes doigts entre tes cuisses, tu t’es mise à frémir, et moi je n’avais qu’une envie de te dévorer. J’ai parcouru tes courbes, une envie de te surprendre, je me suis arrêté, admirant ta beauté, tu m’as murmurer de continuer ce jeu indécent. Mes lèvres chaudes sont venues déguster ta chair d’ange. Ma langue curieuse à son tour se mit à lécher l’intérieur de tes cuisses. Tu en voulais plus encore, et moi je m’amusais à t’exciter plus encore. Ton corps se mit à raidir, tu ne tenais plus, et tu m’invitas aux portes de ton antre lisse.


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