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    Elle lui ôta sa chemise en dégrafant les boutons lentement, la chaleur apportée par l'âtre n'était pas la seule responsable de la moiteur du torse divinement sculpté de cet homme. Toujours à califourchon, elle tournoyait avec sa langue, empruntant tout les creux et les bosses de ses muscles, passant de son coup à son bas ventre avec une aisance féline.



    Les pressions de son jeans cédèrent rapidement sous les mains d'Eva, qui sortit délicatement du boxer son pinceau phallique de chair qu'elle savait utiliser à merveille.



    Comme sur une de ses toiles, le terrain était sensible et elle savait œuvrer avec brio pour faire pérenniser l'instant suffisamment longtemps pour le rendre fou. Ses longs cheveux blonds effleuraient  le ventre de cet inconnu, quand elle s'empara  de son jouet favori du bout des lèvres, de sa langue experte partait de bas en haut, aidé de ses mains qui faisaient des  caresses masturbatoires. Un exercice qu'Eva trouvait délicieux.



    Il avait fermé les yeux pour mieux ressentir, gémissant doucement de la bouche.



    Elle aimait à le regarder tout en continuant son jeu lubrique.........



    Lou remontait ses cheveux longs et noirs en un chignon de fortune, la chaleur se faisait étouffante, elle sortit quelques instants dehors, pour ce rafraîchir près du cours d'eau qui bordait l'autre côté de la maison. Elle enleva ses sandales pour y tremper ses pieds, se laissant caresser par la fraîcheur de l'eau, le sourire en coin, son imagination vagabondait vers le manoir auprès d'Eva.......


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    Deux femmes si différentes, tant elles distinguaient deux attitudes divergentes, et pourtant....



    L'une avait besoin de se sentir à l'abri des regards indiscrets par besoin absolu d'intimité, l'autre s'abandonnait généreusement et pleinement sans compter.



    Lou avait un côté étroit et ombragé, très intimiste en quelque sorte chaste et innocente, Eva était plutôt diaboliquement sulfureuse, Lou était très protectrice de ses sentiments, Eva au contraire affirmait ses sensations.



    Elles souhaitaient quitter la région parisienne, pour se consacrer pleinement à leurs passions, et pour cela une petite bourgade dans la campagne, leur ferait le plus grand bien.



    Eva était une femme pleine de charme, aux longues jambes, aux courbes très sensuelle, au sourire ravageur, et ses mains expertes savaient aussi bien magner le pinceau que de faire frissonner un homme. Lou plus réservée, doté d'un œil acéré qui se complaisait à observer ce qui n'est pas destiné à être révélé ou vu, figeait ces instants dans son appareil photo.



    Elles avaient rendez-vous avec un agent immobilier, pour visiter un manoir, Il avait la trentaine, sur de lui, très séduisant, la peau mate, les yeux bruns, tout à fait le genre d'homme qu'Eva aimait croquer...



    Derrière les grilles noir de ce lourd portail en fer forgé, et tout au long de cette allée, on pouvait apprécier une multitude de résineux en tout genre qui la bordait. Pendant qu'il ventait les mérites de ce manoir, Eva ne le quittait pas des yeux et buvait ces paroles. Les essences des écores et des sèves variées se mélangeaient à la menthe sauvage, ce spectacle donnait naissance à une farandole olfactive qui se greffait au plaisir de la vue, ce cadre  invitait à l'enchantement et à la rêverie de Lou.



    - C'est une bâtisse un peu défraîchie certes, mais néanmoins rustique, avec une belle charpente, une demeure chevaleresque. C'est un lieu magique vous savez.........



    - On la prend, rétorqua Eva.



    En remontant l'allée, Eva dont la robe laissait libre son cou et ses épaules toutes dorées, lui souriait tendrement en l'écoutant. Devant les yeux de Lou au sourire complice, elle s'approcha tout doucement lui saisissant les bras et l'immobilisa avant de l'embrasser fougueusement, puis finit par le mordre légèrement. Il ne résista pas et se laissa cueillir par la magie de l'instant en s'abandonnant à la bouche d'Eva, aux adorables contrastes de l'humidité et de la chaleur de sa langue aventureuse et joueuse. Un doux frisson parcourut l'échine d'Eva dont une épaule dénudée s'offrait au murmure d'une brise légère, Lou amusée regardait ce petit jeu qui venait de commencer...



    Ils arrivèrent enfin devant la porte d'entrée.



    Le décor rendait l'endroit charmant, l'excitation montait de plus belle, il leur fit une visite guidée, les entraînant de pièces en pièces, Lou les laissa un moment, pour faire le tour de la maison, sachant ce qu'Eva avait derrière la tête.



    Ils grimpèrent aux étages, traversant des couloirs et longeant des pièces, il s'arrêta devant l'une d'elle, qui souhaitait lui faire visiter, "un boudoir".  Doté d'une imagination libertine et d'un côté romanesque, il lui fit par  de ces personnages libertins qui se pavanaient sur ce canapé, se laissant aller à des jeux érotiques. Tout en l'écoutant Eva s'allongea sur ce canapé, la robe relevée les jambes écartées très subjectives, Eva par son regard de braise lui lançait une invitation, qu'il s'empressa d'accepter....



    Son bas ventre était collé aux fesses D'Eva moulées dans sa robe, de la façon la plus parfaite, leurs bouches se cherchaient et leurs langues avaient entrepris une danse suave et langoureuse, juste avant qu'il ne décide de retirer sa robe, pour découvrir dessous la fragilité de la dentelle et de la soie d'un soutien gorge, qui englobait sa poitrine ferme et généreuse.



    Il dégagea ses seins un à un, pour les goûter de la pointe de la langue avant de les prendre à pleines bouches. Elle poussa un léger soupir, des frissons lui parcouraient le dos, elle ondulait sous ses caresses, mais elle n'avait pas pour habitude de se laisser dominer, c'est elle qui devait mener la danse. Elle le força à se coucher sur le tapis, désormais elle avait plein pourvoir. ........


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  • Rêverie érotique, chemin de l'évasion. . . 


     


    Racontez moi vos rêves érotiques, vos fantasmes. . .


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  • L'été, jeux de séduction, jeux fripons.
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Dans les jardins publics, des bouches affamées se dévorant à coups de langues inquisitrices éperdues. Dans les chambres d'hôtel, des corps enchevêtrés, excités mêlant leur sueur, dans une atmosphère humide, des sexes qui se frottent et se cherchent, des envies de mouillées se mélangeant aux gémissements.
    <o:p> </o:p>L'été, les envies se réveillent, se font de plus en plus chaude. On se mord, on se lèche, on se griffe, on se caresse, envie de se confondre, de se fondre.
    <o:p> </o:p>

    Alors il glisse, s'immisce d'un bout de lui à l'intérieur de moi, je m'ouvre de plus belle. Instant magique, le temps est suspendu, mon cœur s'arrête. L'un dans l'autre,  on s'imbrique, on se puzzle. Chair tendue dans son enveloppe charnelle.
    Après une douche, on peut alors recommencer. Attiser le désir, chauffer et faire monter au rythme des sorties et des entrées.



     

    Vite, plus vite, tu m'excites !

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  • Phase dégustation, tout en douceur et délicatesse, et faire monter un désir réciproque.

    L'art du baiser. . .

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