• C'est beau l'amour...

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  • Comment ne pas oublier ton regard noir, tes cheveux long châtains bouclés,Comment ne pas se souvenir de ta peau, toi près de moi, toi contre moi, moi en toi, de notre première fois.

     

    J’étais là comme un enfant, je n’osais te prendre par la taille et toi tu me regardais avec douceur, un simple instant de bonheur, un instant où plus rien n’existait.

    Avec tendresse, tu m’as fais poser ma main sur un de tes seins, je pouvais ressentir ton cœur qui battait. J’ai déboutonné ta chemise, pour enfin le découvrir. J’ai passé mes doigts sur lui, douce sensation. Je t’ai déposé un baiser furtif sur ton mamelon et …


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  • Plaisir

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  • Doucement dans la pénombre de ta chambre je suis entré. Tu dormais, ton souffle était léger, je me suis glissé sous les draps frais, mes doigts devenant mes yeux dans cette obscurité, je pouvais deviner que tu étais dénudée.

    J’ai frôlé tes épaules, pour me laisser glisser lentement sur tes reins creusés. Sous ma bouche j'ai senti se dessiner un frisson, ton corps s’abandonnait tranquillement.Je caressais tes formes rebondies, repassant sur ce sillon subtil, laissant s’exiler un de mes doigts entre tes cuisses, tu t’es mise à frémir, et moi je n’avais qu’une envie de te dévorer. J’ai parcouru tes courbes, une envie de te surprendre, je me suis arrêté, admirant ta beauté, tu m’as murmurer de continuer ce jeu indécent. Mes lèvres chaudes sont venues déguster ta chair d’ange. Ma langue curieuse à son tour se mit à lécher l’intérieur de tes cuisses. Tu en voulais plus encore, et moi je m’amusais à t’exciter plus encore. Ton corps se mit à raidir, tu ne tenais plus, et tu m’invitas aux portes de ton antre lisse.


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  • Ses bas de soies galbaient ses longues jambes parfaitement dessinées, mettant en valeurs sa féminité, quand elle vint s’asseoir près de moi sur ce banc, je n’osais la regarder, elle prit ma main, qu’elle glissa délicatement sous sa jupe, et remonta doucement jusqu’à son string, ses seins pointaient, mon cœur battait la chamade, elle était si douce, si libertine. Mes sens ne firent qu’un tour, elle se fit câline, je me mis  à la désirer ardemment.


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